Des photographies anciennes du village.
Cette rubrique, présentée en trois parties, est réalisée grâce à des photographies et documents anciens mis à notre disposition par les symphorinois. Des images retrouvées dans de vieux albums, des greniers ou des brocantes qui évoquent un passé dans lequel il faisait bon vivre. De très nombreux documents sont à connotation religieuse. Il ne s’agit pas d’un choix délibéré mais de la simple constatation de l’importance du « Sacré » dans le vécu populaire quotidien d’antan.
En 1930, le centenaire de l’indépendance de la Belgique fut commémoré. A cette occasion, une centaine de symphorinois furent réunis et prirent la pose devant l’ancienne maison communale. Les drapeaux des diverses corporations ou associations étaient mis à l’honneur et une indication « Saint-Symphorien 1830 – 1930 » avait été apposée au-dessus de la porte d’entrée de l’immeuble communal.
Peut-être, en y regardant de plus près, reconnaîtrez-vous un parent ou un vieil ami. En tout cas, on distingue immédiatement le Roi des Archers de l’année 1930 lequel porte fièrement son collier en argent (cf. infra la « Vie associative »).
Des militaires, des miliciens et des musiciens entre autres. Ces photographies du centenaire nous ont été fort aimablement prêtées par la famille Bautière-Marozzo.
Les élèves de l’enseignement communal et catholique de l’époque posèrent également pour la circonstance. Nous avons vu que l’ancienne maison communale est aujourd’hui le siège social du Groupe Renmans S.A. On constate qu’à l’époque, la façade comprenait un fronton sur lequel les mots « Maison communale » étaient apposés.
A gauche, les élèves de l’Ecole Communale.
A droite, les élèves de l’Ecole Catholique. L’école libre des « Filles de la Sagesse » vit le jour en 1902.
Aux chapitres « Histoire » et « Découverte Nature », nous avons parlé de l’importance de l’exploitation des carrières de phosphate pour le village à la fin du XIXème siècle et au début du XXème. Ici, une vue d’ensemble de « La Société Anonyme des Phosphates de et à St-Symphorien ».
La cour de l’exploitation et les moyens de transports : le petit train à vapeur et les chevaux. Documents aimablement mis à notre disposition par la famille BIENFAIT.
Ce petit train pouvait emprunter le réseau du tram à vapeur. Voyez également ci-dessus au chapitre « Chroniques anciennes », la rubrique consacrée aux anciens transports.
Livraison de fûts par la brasserie.
L’ancien immeuble Sébille aujourd’hui école libre des Filles de la Sagesse (et couvent).
Le Petit Pavé.
Les Quatre Pavés.
Le bureau de Poste.
Livraison de tabac d’Obourg (1911).
Même scène
Festivités sur la Place.
Même scène.
©Texte de Bernard Detry